Eh oui, il serait temps, quand même, d'ajouter un chapitre à notre périple québécois de fin juillet !
Après l'Estrie, une nuit à Québec, où il fait un froid pinçant, avec un vent très désagréable.
le Gouverneur du Canada est en visite et rencontre le public : Oscar lui vante les avantages de Toulouse.
la mascotte du régiment est un bouc
euh, un bouc !
21 coups de canon, et ils n'ont pas détruit le château Frontenac !
les gardes ne sont plus ce qu'ils étaient : celui-ci est une fille ! impassible quand même
Québec es située à un resserrement du Saint Laurent
Bas-Québec est plein de dangers :
on mange une pizza rue Saint Paul, après avoir visité l'intéressant musée des Civilisations, pour tout comprendre sur les premières nations, et sur la colonisation
Le lendemain, départ vers Charlevoix : première pause au Parc National des Grands Jardins.
La première boucle en randonnée nous laisse découvrir une flore boréale : d'impressionnant lichens en barbe-à-papa
et aussi des arbres fleuris
une femelle tétras et ses poussins
et aussi de drôles d'herbes ou de conifères nains
et puis cette discrète, emblème des parcs nationaux
Dès le premier soir, objectif atteint : on coche nos premiers castors (au total on n'en aura pas vu beaucoup !)
et un oiseau jaseur résistant au vent de ses petites pattes
La plus belle randonnée de ce parc, le Mont du Lac des cygnes, on voit presque jusqu'au fleuve, et on est sur les bords d'un immense cratère de météorite :
Deuxième parc : le parc National des Hautes-Gorges de la rivière Malbaie (ces parcs nationaux sont en fait des parcs de la proveince de Québec).
forêts de bouleaux, hampes roses
au camp, on va enfin pouvoir découvrir un must de la gastronomie québécois de feu de camp : le pop'tart, biscuit au chocolat à réchauffer, réputé encrasser les grille-pain
euh… ça colle aux dents :
un vieux barrage avec sa passe à poissons
une famille de canards noirs d'Amérique
des lacs à perte de vue, le paysage est ouvert, ici, grâce aux incendies qui ont ravagé le secteur il y a plus de 10 ans. On ne distingue pas un ours pour autant :
dans les campings des parcs, les sanitaires sont coquets :
sale temps, nous allons refaire le plein de vestes et baches pour la tente à La Malbaie :
d'après la quantité de bois, l'hiver sera rude !
ça y est, un brin de soleil les papillons sortent
l'occasion pour nous d'aller observer la faune au crépuscule, en rabaska, pendant que Bernard essaiera d'en apprendre plus lors d'une causerie sur l'ours :
et gagné, on a vu des castors !
ici, un chipmunk s'appelle tamia, et toujours aussi vif :
ça tiendra ? oui, ça a tenu, et bien.
Ce n'a pas été le seul jour du pluie du séjour, ce qui gâche un peu le voyage. Mais les belles journées ont été les plus nombreuses !