La République de Malte est le plus petit État de l'Union européenne (316 km2), le plus densément peuplé (150 000 hb, soit 1400/km2), et donc très urbanisé et bétonné, particulièrement l'île de Malte (une des 4 îles peuplées parmi l'archipel de 8). Un patchwork méditerranéen de cailloux et de poussière, à la langue proche de l'arabe, l'alphabet en partie latin, la culture profondément religieuse (catholique), marquée par l'Italie (la cuisine : on est à 100 km au sud de la Sicile), et le Royaume-Uni (près de 2 siècles de colonisation.
Quel plaisir de retrouver la montagne ! nous sommes pour 3 jours en vallée du Larboust, l'occasion de quelques randonnées sous un soleil radieux.
J1 le pic du Lion, départ à pied de la maison.
J2 en vallée du Lys , en avant vers le Lac vert. Il reste un pont de neige, et c'est encore assez fleuri
Pendant les révisions du bac, il faut bien s'occuper et régaler le candidat (et la famille, oui), mais qu'est-ce que ça peut bien être que ces limaces dégoûtantes ?
12 heures de séchage avant cuisson… avec la météo actuelle, c'est surtout bien ramolli… on s'inquiète.
des cornes de gazelle ! la présentation laisse à désirer, mais pour le goût, c'est la perfection !
Hier et la veille, à la Cité de l'Espace, se tenait le défi solaire organisé par http://www.planete-sciences.org/blogs/defissolaires/les-defis/tous-savoir-sur-les-defis-solaires/ : des courses de voitures solaires, conçues et pilotées par des jeunes d'établissements scolaires. La classe d'Oscar y participait. C'était le projet technologique de sa classe de seconde au lycée Déodat de Séverac : toute l'année, tous les vendredis ou presque, c'était "défi solaire" de 11h à 18h, de la conception à la réalisation et au pilotage, tout est fait par les élèves. Oscar est dans le petit groupe qui s'occupe du suivi de classes de primaire, dont les voitures couraient vendredi. Mais samedi, c'était le tour des lycéens. Une douzaine de voitures, des lycées technologiques de la région, pour une épreuve de pilotage le matin, d'endurance l'après-midi : 9 panneaux solaires maxi, une contrainte de taille, de hauteur et l'exclusivité de l'énergie fournie par le soleil. il vaut mieux qu'il fasse beau !
Sunsky arrive au stand, et y retrouve des tricycles, des quatre-roues, certaines sont traction avant, et la direction est à l'avant ou à l'arrière
le matin, pour l'épreuve de pilotage, c'est un peu nuageux. Les voitures qui n'ont pas les panneaux photovoltaïques de dernière génération sont un désavantagées
l'après-midi grand soleil pour les 4h d'endurance. Les pilotes se relaient sur l'estrade, et les bolides s'excitent. mais parfois s'arrêtent, c'est alors au tour des mécaniciens de réviser le véhicule
… mais finit par franchir la ligne d'arrivée, malgré l'ombre qui grandit, ce qui valide l'ensemble de sa course !
quelques jours entre Anglet, Bayonne et Biarritz autour du 1er mai… sous un temps voilé mais déjà chaud
à Biarritz, balade en front de mer, de l'hôtel Eugénie, au plan en forme de E, au Rocher de la vierge. Oui, oui, il y a quelques baigneurs !
les cabanes de pêcheurs du petit port ont été bien rafraîchies, et transformées pour la plupart en restaurants.
dégustation de cidre et achat de talo (ça s'écrit taloa je crois) : une grosse crêpe de maïs fourrée.
et aussi un grand merci à Agnès qui a été notre guide et hôtesse formidable
Normal, hier, c'était le carnaval de Toulouse !
démarrage de St Cyprien vers 19h30, direction le Pont-neuf
une grenouille bleue, et c'est quoi, un poireau ? mais une perruque fait l'affaire ! il y a aussi des champions hallucinogènes, des pirates bien sûr !
C'est quoi, l'équivalent d'une seule étape de la Hawaiki nui ? mais c'est tout aussi fabuleux ! Une course d'embarcations à rames, à Venise, le dimanche de Pentecôte, tous les ans depuis 40 ans. Cette année, j'en suis !
Une forme de manifestation contre les grands navires de croisière qui détruisent progressivement la lagune et les fondations de la Sérénissime.
Un rassemblement de plus de 2000 navires, 8000 personnes, et c'est vraiment formidable.
Avec mon club, l'Emulation nautique de Toulouse, 2 bateaux, des "yolettes"(4 rameurs et un barreur), et nous étions organisés avec 5 autres clubs de la région; ça se prépare depuis Novembre. d'abord par la préparation des bateaux : démontage, ponçage, vernis "mer", petites réparations…
La course c'est 32 km d'île en île dans la lagune, avec des ralentissements dans les canaux. On est garés au Tronchetto, à l'autre bout de Venise : 5 km de plus.
Le coup de canon est donné place St Marc à 9h, et l'arrivée est à la fin de Grand canal. Un enchantement !
Voici le ponton que nous choisissons :
mais il faut auparavant remonter et préparer les yolettes :
et les installer sur le ponton, au plus près de l'eau, pour ne pas perdre de temps demain matin :
la veille on s'offre un petit tour de vaporetto pour visiter le Grand canal et le pont Rialto :
au petit matin, dimanche, c'est le calme absolu : le temps sera exceptionnel :
le dragon boat qui nous a accompagné part dès 6h30, et sera de retour vers 17h30 seulement
8h30, mon équipage est prêt à s'installer à proximité de la ligne de départ
il y a toutes sortes d'embarcations, surtout la traditionnelle caorlina, sur laquelle on rame debout, c'est la voga veneta :
des équipages exclusivement féminins :
l'île de San Francesco du désert, et au loin Burano et son campanile penché
les kayaks , comme des poissons-pilotes, se mettent dans l'aspiration des plus gros
puis passage à Murano, où on nous distribue eau et bananes
et enfin le Grand canal, où nous sommes attendus et applaudis,
mais où la circulation n'est pas facile !
c'est encombré
Enfin l'arrivée Punta de la Dogana, après 4h de course ! Pas de chrono ni de classement, mais une médaille et un diplôme pour tous les participants. sympa !
un dernier changement de barreur pour le retour au ponton
tout le monde s'entraide pour sortir les bateaux de l'eau
le soir, un dernier tour dans la si belle ville
et calme
et le lendemain, retour Toulouse : 16h de bus ! c'est long, tout le monde est fatigué, mais tellement heureux !
Départ de Croquié, 1200m, -6°, du vent
Tarascon est sous la neige aussi. On peut chausser les skis à la voiture. Bien !
Déjà des amoncellements de neige sur les arbres
le chemin n'est plus qu'une piste
les branches des sapins pendent épuisées sous le poids de la neige
les arbres ayant perdu leurs feuilles gardent la tête haute
mais les pauvres bouleaux encore feuillus courbent le dos,
surpris par cette couverture précoce !
Nous quittons enfin la forêt : encore plus de neige, encore plus de vent, et le sommet dans le brouillard
la cabane de Lauzate, 1850m, sous son manteau de neige glacée
quel vent ! 1,50m de neige, on creuse pour trouver la porte et un abri pous le pique-nique
a y est ! la cabane est ouverte ! De quoi dormir pour 10 personnes, une cheminée… mais non, on ne s'attarde pas.
Après le repas, la sortie est noyée dans le nuage, la montée aussi, et même la descente. Le sommet n'est plus qu'à une demie-heure, mais un prudent demi-tour nous ramène à la voiture.